« L’amour des ennemis »
Au fond, je me croyais éternel. Et aimé par tous. Je savais mais je ne réalisais pas à quel point nous sommes mortels, ni à quel point nous ne sommes pas aimés par tout le monde. C’est ce que nous Lire plus …
Au fond, je me croyais éternel. Et aimé par tous. Je savais mais je ne réalisais pas à quel point nous sommes mortels, ni à quel point nous ne sommes pas aimés par tout le monde. C’est ce que nous Lire plus …
Il n’y a pour moi rien de « radical » dans cette théologie simpliste qui voudrait nous remettre dans les chères vieilles ornières (elles sont si familières et nous donnent si bonne conscience) de l’opposition entre violence et non-violence, en nous faisant Lire plus …